Le geocaching, c’est quoi ?

Ca a commencé par un petit chef qui, pour présenter ses pions, a demandé à chacun de se présenter en décrivant ses hobbies. Un des pions a cité le geocaching comme activité du week-end. Et comme on n’avait rien d’autre à faire pendant 3 jours, on a commencé à en parler. Le geocaching, c’est, comme le décrit Wikipedia, un loisir qui consiste à utiliser la technologie du géopositionnement par satellite (GPS) pour rechercher ou dissimuler un contenant (appelé « cache » ou « géocache ») dans divers endroits à travers le monde. Une géocache typique est constituée d’un petit contenant à l’épreuve de l’eau et de l’environnement comprenant un registre des visites et un ou plusieurs « trésors », généralement des bibelots sans valeur. Plusieurs centaines de milliers de géocaches sont répertoriées dans 222 pays sur les différents sites Web communautaire. D’abord considéré par un peu idiot, le principe a commencé à m’interpeller quand j’ai réalisé que c’était une bonne occasion de promenades. J’ai donc, ce samedi, essayé, en famille. Donc, je suis parti aux informations : Comme point de départ, le site SwissGeocache permet de s’initier au rudiments de l’activité. Côté international, le site de référence semble être geocaching.com : Plus de 678’000 caches répertoriées dans le monde entier. Le principe est simple : Des caches, identifiées par des coordonnées GPS, sont répertoriées. Il s’agit de trouver la cachette, qui contient en général une boîte remplie d’objets divers et sans valeur. Là, on signe un logbook, on peut prendre un objet et en remettre un autre. Le jeu est d’autant plus intéressant que les sites cités plus haut permettent de loguer tout cela online, et de suivre sur le web les activités des caches. Pour pimenter le tout, les caches contiennent des fois des « Travel bugs » ou des « Geocoins » munis d’un identifiant unique : Le but pour celui qui les trouve est de le changer de cache, avec, dans certains cas, un but précis. Celui-là, par exemple, a déjà fait 7400 km. Cerise sur le gâteau, outre cette activité online, il existe le logiciel qui va bien sur mon Nokia E66 et son GPS intégré pour faire du geocaching direct live. Donc :

  • Ca fait se bouger
  • C’est ludique pour les gosses
  • C’est geek-compliant
  • C’est très web 2.0
  • Ca amortit mon E66.

Côté logiciel sur mon E66, les détails suivront dans un prochain billet.

6 Commentaires

  1. Neuschgu—–> pas du tout avec google heart , actives le quadrillage et vant de partir de chez toi tu imprimes le lieux de la cache, prends des caches simples (boite verte sur le site de geocaching) et tu verras
    de bonnes et belles balades
    Hipopo sur geocachin-france

  2. Ben quoi, j’ai plus le droit d’être de mauvaise foi ?
    Oui, c’est vrai j’ai un iPhone (pas 3G!), et je vais essayer, car je trouve somme toute l’idée assez sympa !

  3. D’au autre côté, le problème de se metre au geocaching à cette saison, c’est qu’en semaine, il fait nuit avant et après le boulot…. Alors c’est frustrant 😉

  4. Pour tous les fans de géocaching et de découvertes, découvrez également le GPS Safari dans le département du Doubs. Précurseur en France sur l’activité du géocaching, le département du Doubs propose depuis 2004 une centaines de parcours créé par le Comité départemental du tourisme permettant de visiter et de découvrir des sites et des paysages du département.
    Découvrez donc vite le site http://www.gps-safari-doubs.com tout fraichement relooké et proposant des fonctionnalités nouvelles : sélections multicritères des caches, dépôt de commentaires et photos, actualités, traduction du site et des caches en anglais…
    Une vingtaine de points de locations sont à votre dispositions dans le département (pour Neuschgu qui n’as pas de GPS…!)

    A très vite dans le Doubs, réserve naturelle d’idées neuves
    http://www.doubs.travel

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