Comparons CenterParcs « Hauts de Bruyère » et « Lac d’Ailette » [4/5]

Suite des billets précédents : comparons les expériences des deux différents Center Parcs fréquentés par les Syklop : Les Hauts de Bruyère et le Lac d’Ailette.

L’extérieur

L’environnement extérieur est, comme le reste, très neuf. Trop neuf : La végétation, bien que déjà plantée, n’a pas encore effacé les traces de terrassement. Evidemment, ça n’est pas un reproche, mais juste un fait : Ce parc est neuf, et les aménagement extérieurs seront beaucoup plus harmonieux dans quelques années. On peut par contre encore voir des rares restes de chantier ici et là. Par exemple, devant notre terrasse, il y avait une bâche plastique qui dépassait de la butte artificielle. Et quelque-chose qui ressemble à un bidon plastique, aussi, au loin, dans l’eau. C’est dommage. Un point qui nous a surpris, par contre : Le minigolf, ouvert rappelons le il y a moins de 6 mois, a déjà l’air en mauvais état et en manque d’entretien : Parcours non plat, trous en mauvais état, sentiers boueux et chemins malmenés : Là, il y a vraiment quelque-chose à rectifier. Là encore, pour l’instant, avantage au Domaine des Hauts de Bruyère, donc.

Le Village

Le Village, c’est l’infrastructure centrale qui regroupe AquaMundo, magasins, restaurants et infrastructure d’accueil. Au Lac d’Ailette, l’architecture y est agréable. Globalement aussi, c’est le lieu le plus finalisé de tout le parc : On n’y perçoit pas souvent ce côté trop nouveau et pas fini qu’on perçoit ailleurs. La famille syklop a fait peu d’expériences de restaurants. En partie à cause de sa première expérience le lendemain de son arrivée, à la pizzeria : Bien que vide aux 2/3, un service défaillant : Lent pour passer commande, lent pour être servis. Mais ça n’est rien par rapport à la table d’à côté, qui a attendu 30 minutes après l’entrée pour devoir relancer son plat principal qui n’arrivait pas… Mais, à part le service, c’est surtout la taille des pizzas enfants qui agace : A tout casser 18 centimètres : C’est petit. D’ailleurs, les mini-syklops, qui ne sont pourtant pas des gros mangeurs, avaient faim à la sortie du restaurant, alors qu’ils avaient eu droit à ce qu’ils appellent le menu enfants. Un comble, non ? Et, en écoutant autour de nous et en discutant entre clients, on a pu constater que le problème des quantités minimalistes est chronique tant dans les différents restaurants du Lac d’Ailette que dans les services de repas au cottage du type « Pierrade » ou autres. Pourtant, nos souvenirs des années précédentes, au Domaine des Hauts Bruyères, étaient complètement différents : Service efficace et quantités rassasiantes… Le supermarché du Lac d’Ailette est achalandé de manières similaire à celui des Hauts de Bruyère : Il y a donc tout ce qu’il faut pour vivre au parc. Par contre, les souvenir qu’on avait des années précédentes était que les prix étaient corrects, non majorés par rapport à l’extérieur du parc : Impression toute autre cette année au Lac d’Ailette, où tout est cher, vraiment. En plus, ils ont réussi à me vendre du bois mouillé pour la cheminée, que je n’ai pas réussi à utiliser, même si j’ai mon badge de gardien du feu obtenu chez les scouts à l’époque…. Globalement une fâcheuse impression qu’au Lac d’Ailette, tous les moyens sont bon pour que le parc économise et se fasse des bénéfices sur le dos du client. Il y a cependant une limite acceptable à ces procédés, et elle est dépassée. Ca n’était pas le cas aux Hauts de Bruyère. Avantage, encore et de loin cette fois, aux Hauts de Bruyère. Suite demain !…

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