CenterParc c’était bien. J’en suis le premier étonné. (1/2)

Publié à l’origine sur le Blog des Pendulaires, cet article est gardé sur Quelbazar comme témoin historique d’un temps où ce site était encore un blog perso où on parlait de tout et de rien.

Coucouuuu ! Nous revoilouuu !

Pour ceux qui n’ont pas suivi : Ma petite famille et moi, on est partis quelques jours se prendre du bon temps à Center Parcs, en Sologne. Je précise parce qu’il y en a plein, de Center Parcs : « Seulement 2 » chez les Gaulois, (un en Normandie et un en Sologne), mais plein plein en Hollande et en Belgique et par là-bas.

Donc l’idée traînait dans une case mémoire de mon cerveau torturé depuis un certain temps déjà. Case mémoire répliquée chez ma moitié, d’ailleurs. La faute à mon collègue Vincent, qui, il y a quelques mois, préparait ses vacances de Pâques à Center Parcs avec son fils. D’ailleurs il y va la semaine prochaine, lui. Ou plutôt celle d’après. Il en a de la chance.

Mon esprit, ces derniers temps, était un peu focalisé sur mon changement de job. Mais la nouvelle étant tombée le 31 mars (oui, je change de job…), je me suis mis le … 3 avril à réfléchir à nos vacances. La faute au fait qu’en commençant un nouveau job le 1er juillet, ça va être difficile de planifier des vacances cet été…..

Donc, le 3 avril, je pars à la recherche d’une réservation de cottage à Center Parcs pour le … 10 ou le 17 avril. Mission impossible, qu’on me dit : C’est en plein pendant les vacances des parigos.

Sur le site de Center Parcs (merdique, soit dit en passant….) : Tout est complet. J’abandonne.

Il ne me reste plus qu’à passer par une agence. Le TCS propose des séjours à Center Parcs. Je me lance. Caroline, elle s’appelle, la demoiselle au téléphone. (parce-que j’ai même pas pris la peine de me déplacer, j’ai fait ça par téléphone). Donc Hop je propose mes date, hop elle vérifie, et hop elle me propose un cottage à Sologne pour 7 jours plus tard.

Magique non ? Pas complètement : Le seul cottage restant est un 6 place, alors qu’on est que 4. Va falloir donc ouvrir le porte monnaie un peu plus grand, mais c’est un détail.

Donc lundi 10, départ. Je sais pas si vous vous souvenez, mais lundi 10, il a fait un temps particulièrement pourri : froid, pluie, inondations, et… neige. On a eu la bonne idée de passer par Vallorbe – Pontarlier : Bein je vous assure que j’ai pas regretté de toujours avoir mes pneus neige !.

A part ça, tout roule. Pendant 6 heures, avec un supplément gratuit d’une trentaine de minutes, parce que quand on se plante en donnant une destination au GPS, il nous obéit sans broncher, ce con. Mais ça aurait pu être pire, on aurait pu se retrouver en Belgique….. Hum.

La suite plus tard : Il est l’heure.

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